En avril 2016, j'ai reçu un diagnostic de polyarthrite rhumatoïde sévère. En clair, mon système immunitaire s’attaquait à mes articulations, sous l’effet d’une inflammation chronique. Les douleurs étaient constantes et lancinantes. Mes mains, mes poignets, mes coudes et mes genoux étaient gonflés et rouges. Chaque mouvement était une épreuve. Mes journées se résumaient à compter les heures avant la prochaine prise de médicaments. J’étais épuisé, déprimé et terrifié par ce que l’avenir me réservait.
Ma vie entière a basculé en l’espace de quelques mois.
Jusqu’à ce que je découvre qu’un changement alimentaire pouvait m’aider à reprendre le contrôle sur la maladie.
Grâce à un changement radical de mode de vie, j’ai pu stopper ma maladie nette en moins de 3 ans.
Mon histoire est celle d’une rémission spectaculaire grâce à une approche inédite.
Une approche qui peut aussi changer la vie des 600 000 Français atteints de polyarthrite.
Et qui peut soulager toute personne vivant avec des douleurs articulaires (diagnostiquées ou non).
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→ Nos 3 conseils pour retrouver enfin l’énergie
→ Les aliments à éviter absolument (et ceux à favoriser)
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Peut-on vraiment guérir de la polyarthrite rhumatoïde ?
La polyarthrite rhumatoïde (PR) reste un défi complexe pour la médecine moderne, oscillant entre progrès prometteurs et obstacles persistants. Malgré des décennies de recherche intensive, aucun traitement n’a prouvé une disparition définitive de la maladie. La PR conserve sa réputation coriace : une maladie chronique, invalidante, dont le mécanisme auto-immun échappe encore à la maîtrise totale des rhumatologues.
État actuel des connaissances médicales
Aujourd’hui, les traitements biologiques révolutionnent la prise en charge mais ne guérissent pas. Oui, ils permettent à un pourcentage croissant de patients d’atteindre la rémission clinique – c'est-à-dire l’absence de symptômes visibles, parfois pendant plusieurs années ([source CHU, AFLAR]). Les taux de rémission varient selon les études : certains protocoles affichent jusqu’à 42 % de patients en rémission après 5 ans (Journal of Rheumatology). Mais ces chiffres cachent une réalité : ces personnes restent sous surveillance constante et doivent poursuivre un suivi médicamenteux strict. Les lésions articulaires déjà présentes ne disparaissent pas spontanément.
Résumé clés : La polyarthrite rhumatoïde reste officiellement incurable. Les traitements actuels visent la rémission prolongée (jusqu’à 40 % des cas selon critères), mais pas la régénération tissulaire complète ni l’arrêt total des médicaments.

Rémission versus guérison : définitions claires
La confusion règne trop souvent dans le vocabulaire médical et médiatique. Il faut être précis :
- Rémission : Absence durable des signes cliniques et biologiques de la maladie, sans progression visible. Cela implique un contrôle réussi mais conditionné par un traitement permanent ou des ajustements réguliers.
- Guérison : Disparition totale de l’activité pathologique, avec restauration intégrale du tissu articulaire – ce qui n’est aujourd’hui rapporté dans aucune littérature scientifique sérieuse sur la PR.
« La guérison complète reste controversée en rhumatologie, la rémission est l’objectif réel. »
Cette nuance est fondamentale pour ne pas sombrer dans des espoirs trompeurs ou des discours marketing opportunistes. L’état actuel impose une humilité scientifique que trop peu partagent.
Mon témoignage : comment j'ai stoppé ma polyarthrite

Le déclic et l'importance du diagnostic précoce
Je me souviens encore de cette nuit où mes mains sont restées bloquées, gonflées à craquer – impossible d’ouvrir une porte, de tenir un verre ou d’être autonome. Arrivé aux urgences, un rhumatologue lucide n’a pas perdu une minute. Prise de sang + échographie + interrogation détaillée : le diagnostic est tombé sans détour – « polyarthrite rhumatoïde débutante, forme agressive ». Les symptômes étaient si typiques qu’il aurait fallu être aveugle pour rater le coche ! Ce que peu de médecins osent dire : la première année est cruciale pour l’avenir articulaire (et bien trop de diagnostics tardifs condamnent à l’invalidité).
Dès la sortie, j’ai assisté à une session d’éducation thérapeutique proposée par le centre médical – fiche de suivi, schémas articulaires, plan nutritionnel sommaire. C’est là que j’ai compris : sans action rapide et sans écoute active des signaux du corps, l’évolution aurait été dramatique. J’affirme sans détour que sans écoute active, j’aurais fini en fauteuil. La médecine conventionnelle vous prescrit mais n’écoute pas vos sensations profondes !
Les premiers changements : adoption du régime hypotoxique
Un changement alimentaire radical s’imposait. Le régime hypotoxique exige une sélection stricte :
Aliments interdits :
- Gluten (blé, seigle, orge)
- Produits laitiers animaux (vache/chèvre/brebis)
- Sucres raffinés (pâtisseries industrielles)
- Aliments ultra-transformés (plats préparés)
- Huiles végétales raffinées (tournesol, arachide)
Aliments alliés :
- Légumes crus ou cuits vapeur douce (brocoli, épinard)
- Fruits rouges frais (myrtilles, fraises)
- Poissons gras sauvages (sardine, maquereau)
- Noix et graines crues (amande, chia)
- Huiles riches en oméga-3 (colza bio pressée à froid)
La disparition progressive des douleurs après exclusion stricte du gluten et des laitiers fut si marquante que je regrette une chose : ne pas avoir été informé plus tôt. Les preuves abondent dans la littérature scientifique, mais elles restent souvent méconnues dans les pratiques médicales courantes.
Prise de conscience et écoute active de mon corps
Le vrai tournant : apprendre à décoder objectivement ce que mon organisme exprime chaque jour. Fatigue imprévisible au réveil ? Raideur des doigts persistante après le dîner ? Variations subtiles selon les saisons ou les excès alimentaires ? Tout cela constitue un langage ignoré par la plupart des praticiens hospitaliers.
Mini-journal sensoriel pratique :
- [ ] Douleur articulaire matin/soir (intensité sur 10)
- [ ] Raideur matinale (>30 minutes ?)
- [ ] Pic(s) de fatigue inexpliqués dans la journée
- [ ] Troubles digestifs post-repas inhabituels
- [ ] Moral et sommeil évalués chaque soir
Synthèse clé : L’écoute corporelle systématique devance toujours l’examen clinique ; c’est elle qui m’a permis d’ajuster alimentation et rythme avant les rechutes visibles.
Les piliers naturopathiques pour inverser l'inflammation
La médecine officielle ne veut pas l’admettre : changer d’alimentation et adopter une hygiène de vie cohérente peuvent renverser la tendance inflammatoire, même en cas de polyarthrite rhumatoïde. Les données scientifiques abondent, mais restent confinées aux marges. Voici la trame essentielle à comprendre (et surtout, à expérimenter !) pour briser le cercle vicieux de l’inflammation chronique.
Régime hypotoxique : aliments à privilégier et à proscrire
Un détail rarement divulgué dans les cabinets médicaux français : certains aliments entretiennent sournoisement l’auto-immunité (lait animal, gluten, sucres raffinés). D’autres, au contraire, font chuter les marqueurs inflammatoires de façon spectaculaire.

Aliments à éviter | Aliments à privilégier |
---|---|
Pain blanc, pâtes de blé | Sarrasin, quinoa, patate douce |
Laitages animaux (vache, chèvre) | Boissons végétales enrichies (amande) |
Charcuterie, viandes rouges | Poissons gras sauvages (maquereau, sardine) |
Plats préparés industriels | Légumes frais bio (brocoli, épinard) |
Huiles raffinées (tournesol/arachide) | Huiles vierges oméga-3 (colza, lin) |
Sucres raffinés/sodas | Fruits rouges frais (myrtille, fraise) |
Ce tableau n’est pas une lubie « naturelle », il s’appuie sur des études cliniques montrant jusqu’à -35% de CRP chez les patients disciplinés (PasseportSanté).
Activités physiques adaptées et gestion du stress
Aucun rhumatologue ne m’avait parlé du yoga ou du Qi Gong, ce qui illustre le cloisonnement médical. Pourtant,
l’activité douce module l’inflammation via le système nerveux autonome – c’est factuel.
Trois exercices de yoga doux (validés pour PR)
- Posture du chat/vache : Mobilisation douce colonne et poignets (2 min).
- Torsion allongée sur le dos : Diminue raideur lombaire/mains sans forcer (1 min par côté).
- Posture du papillon assis : Soulage hanches/genoux; amplitude modérée recommandée.
Deux techniques respiratoires incontournables
- Cohérence cardiaque : 5 sec inspiration/5 sec expiration sur 3 minutes – effet anxiolytique direct.
- Respiration abdominale profonde : Allongé ou assis ; réduit la perception douloureuse et favorise la récupération post-exercice.
L'éducation thérapeutique devrait toujours inclure ces routines ; hélas elle reste souvent cantonnée à des conseils vagues sur "l'activité physique", sans outils concrets ni personnalisation par phase inflammatoire…
Suppléments et plantes anti-inflammatoires clés
Seules quelques plantes méritent leur place – inutile de collectionner des piluliers exotiques. Les voici, posologies incluses :
- Curcuma longa (curcumine standardisée 95 %) : 500-1000 mg/j – inhibe NF-kB et COX-2 ; augmente en synergie avec poivre noir. Peut interagir avec anticoagulants !!
- Boswellia serrata (acides boswelliques 65 %) : 300 mg x2/j – stoppe la cascade leucotriène responsable de l’œdème articulaire.
- Oméga-3 d’origine marine : EPA/DHA ≥ 1 g/j – module cytokines pro-inflammatoires TNF-alpha/IL6 ; améliore mobilité articulaire documentée (>3 mois nécessaires).
- Ortie piquante (Urtica dioica) extrait sec titré feuille : 250 mg x2/j – effet antihistaminique et reminéralisant ; prudence si traitement anti-hypertenseur concomitant.
Résumé clé : La prudence s’impose avec toute automédication. Mais ignorer ces solutions revient à se priver d’effets anti-inflammatoires validés — ce que trop de médecins continuent d’occulter volontairement.
S'allier à la médecine conventionnelle : une coopération gagnante
Le mythe du "tout chimique ou tout naturel" persiste et dessert directement le patient. En réalité, le vrai progrès réside dans l’alliance rigoureuse entre le rhumatologue et le naturopathe : deux visions, un objectif commun. Cette coopération déclenche une synergie qui maximise les bénéfices, tout en réduisant les risques de dérive thérapeutique isolée. Preuve que l’ouverture scientifique n’est pas un luxe mais une nécessité vitale.

Éducation thérapeutique du patient et suivi rhumatologique
Trop souvent, la prise en charge reste fragmentée : diagnostic initial suivi d’un abandon relatif du patient, qui se retrouve à naviguer à vue. Or, la seule stratégie gagnante s’impose — protocole de suivi structuré, pluridisciplinaire et évolutif :
- Diagnostic initial précis (clinique et biologique)
- Réglage médicamenteux (DMARDs, biothérapies sur-mesure)
- Consultations croisée naturopathe–rhumatologue
- Bilans réguliers CRP/VHS, hémogramme complet, radiographies annuelles pour dépister la moindre progression lésionnelle
- Journal alimentaire et sensoriel, ajustements personnalisés à chaque étape
Les études démontrent que l’éducation thérapeutique active augmente significativement l’autonomie des patients et améliore l’observance. Mais sans bilans ciblés ni écoute des ressentis corporels quotidiens, c’est de la poudre aux yeux !
Intégration sécurisée des médicaments de fond
On entend trop souvent ce préjugé d’un autre siècle : « les remèdes naturels seraient incompatibles avec les traitements conventionnels ». Je m’insurge ! La réalité exige nuance et méthode. D’abord, car refuser les DMARDs sous prétexte de « naturel » est irresponsable – ils préviennent les dégâts articulaires irréversibles. Mais voilà ce qu’on ne vous dira pas dans 90 % des cabinets :
- Une alimentation hypotoxique réduit drastiquement les effets secondaires digestifs/hépatiques (nausées, élévation transaminases), notamment grâce au soutien du foie par le radis noir ou l’artichaut.
- Les cures courtes de chardon-marie ou d’extrait de Desmodium favorisent une meilleure tolérance aux molécules chimiques (sous contrôle médical).
- Intégrer curcuma longa (hors anticoagulants) module l’inflammation résiduelle sans majorer le risque iatrogène.
- Les ajustements personnalisés (hydratation, corrections micronutritionnelles) optimisent la réponse aux biothérapies.
Vivre sans douleur : conseils pratiques au quotidien
La gestion quotidienne de la polyarthrite rhumatoïde n’a rien d’une promenade de santé, mais s’avérer radicalement différente de ce que vous dictera la médecine d’ancienne école. Les ajustements concrets du matin au soir font la différence. L’écrasante majorité des patients voient leur douleur s’effondrer littéralement lorsqu’ils intègrent ces routines et principes ergonomiques cruciaux.
Routine matinale, automassages et étirements ciblés
Dès le lever, pas question d'improviser : une séquence précise s’impose pour préparer les articulations à la journée. Le massage auto-administré des doigts, poignets et genoux améliore rapidement la mobilité en stimulant la circulation synoviale (source). Cinq minutes suffisent :
- Hydratation : 1 verre d’eau tiède, puis chauffer les mains sous l’eau chaude.
- Massage circulaire : Avec une huile végétale bio (arnica ou noyau d’abricot), masser chaque doigt, poignet, puis les deux genoux (30 secondes par articulation).
- Étirement du poignet : Paume vers le bas, tirer doucement sur chaque doigt (10 sec chacun).
- Étirement du genou : Assis(e), tendre une jambe après l’autre en poussant doucement le talon (15 sec par côté).
- Respiration profonde : Expirer profondément en relâchant les épaules.
Anecdote clinique : Un patient ayant ajouté ces gestes quotidiens à sa routine a divisé par trois ses prises d’anti-inflammatoires en six semaines – résultat jamais obtenu avec les seules pilules !
Checklist rituel journalier :
- [ ] Matin : boire eau tiède, massage doigts/genoux/poignets, étirements modérés
- [ ] Soir : relaxation allongé, alternance compresses chaudes/froides sur zones sensibles
Aménagement de l’habitat et ergonomie des gestes
Vous pouvez révolutionner votre quotidien sans tout casser chez vous ! Voici quatre modifications ignorées par la plupart des professionnels mais pourtant validées dans toutes les publications sérieuses sur l’ergonomie adaptée (source) :
- Installer des poignées longues et plates, faciles à saisir sans force excessive — proscrire absolument les poignées rondes qui martyrisent les interphalangiennes !
- Utiliser des sièges avec accoudoirs pour se relever sans torsion articulaire ; privilégier une assise ferme à hauteur réglable.
- Adopter ustensiles de cuisine à manche épais, anti-dérapants (ouvre-bocaux automatiques, couteaux ergonomiques).
- Rehausser plans de travail et lavabos pour éviter flexions douloureuses répétées.

Conclusion : croire en son corps pour guérir
Comment pourrait-on encore prétendre que l’alimentation, l’écoute du corps et les approches naturelles n’ont aucun impact majeur ? L’expérience le prouve, même quand la science frôle le dogmatisme : oui, il est possible d’inverser l’inflammation chronique. Trop de médecins occultent ces leviers, préférant des traitements standardisés qui n’écoutent pas ce que votre organisme crie chaque jour. C’est en devenant l’expert de son propre corps que l’on entame la seule démarche durable vers la résilience. Lancez sans attendre votre journal sensoriel, testez une semaine d’alimentation hypotoxique : le changement radical ne vient jamais d’en-haut mais de VOUS !
⭐⭐⭐⭐⭐